Toute diminution de l'activité sensorielle est un risque d'appauvrissement :

Dans la relation avec l'univers extérieur, et donc dans le plaisir à se sentir exister en société. Dans la stimulation neuronale permanenteindispensable pour assurer le maintien actif des synapses

Il y a un phénomène de "Cercle vicieux" qu'il faut   contrecarrer : des sens qui perçoivent moins bien   stimulent moins le cerveau, qui du coup s'habitue à moins percevoir et donc à moins retenir.

Il est utile   de bien distinguer des modifications sensorielles normales, qui traduisent en quelque sorte l'histoire de chaque sens au cours de l'avancée en âge, et les détériorations qui sont des maladies.

De toute façon, il y a changement au cours des années, et donc appel à une adaptation à ce que deviennent nos sens. En cas de pathologie, il est indispensable de consulter pour éviter, autant qu'il est possible,   l'installation du handicap.

Nous nous interrogeons : sur chacun de nos sens, son histoire au long de la vie, sa relation avec notre mémoire.

 

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